Portrait d’un parcours de vie Un regard sur le passé de Nasserdhin AÎT IBRAHIM alias SRADINE. Privé de son Papa dès sa plus tendre enfance, sa chère Maman lui transmet la force et le courage de vivre dans le respect d’autrui. Cette considération il l’a voue à son ainé, Farouk qui excelle dans l’art du Karaté. A la maison la discrétion côtoie la pudeur des exploits du karatéka. Sradine définit plus tard cette qualité, l’humilité qui caractérise son idole. Courant des années 1970, il aspire ardemment à suivre le chemin de son frère. Lescipline… Farouk tente de le diriger vers une autre voie, en vain…Il passe outre ses conseils. Son désir ardent de vêtir le kimono le conduit à réaliser ses premières bases auprès de Claude THOMAS. Ce Maître qui dans les années 1960 développe le karaté sur la côte d’azur. Rappelons-nous les grands piliers de son club, ses karatékas : Henri VAN TUA, Farouk AÏT IBRAHIM, la famille VALENTIN, Patrick GADINO, Salva PORTARO, aussi les cadets Kader et Malek de la Famille AÏT IBRAHIM… Puis vint les années 1980, Claude THOMAS donne la direction de son club à Jean Pierre LAVORATO 9 ème dan de karaté expert fédéral de la FFKAMA, un des meilleurs karatékas connu mondialement ainsi Sradine poursuit son entrainement avec acharnement pour s’enrichir de l’art martial. En parallèle il enfile les gants de boxe américaine à st Raphael auprès de son manager Marcel OSTINGUA, personnage respectés dans sa discipline. Le célèbre entraineur de boxe américaine et de karaté a formé plusieurs champions du Monde et d’Europe. A ce jour il présente toujours ces élèves dans les grandes compétitions. Marcel encadre Sradine qui fait montre d’une grande détermination ainsi il gagne sa ceinture noire 1ère dan de boxe américaine. Malgré la prothèse totale de hanche* dont il est doté des suites de son accident, il se présente à toutes les compétitions de boxe américaine et de karaté. Sradine continu sa progression en revêtant le costume d’arbitre de ligue de boxe américaine. Une première à Fréjus, Claude THOMAS invite des éminences incontestées du karaté japonais. Encore ancré dans sa mémoire, l’intensité de son émotion est palpable quand Sradine relate ses stages avec ces Maîtres vénérés : sensei KASE, sensei SHIRAI, sensei NOEDA, Sensei NAITO. Ses mots : « auprès d’eux, j’ai appris la maitrise, le contrôle de soi, sans oublier la technique, la puissance et l’efficacité. Mais au-delà de toute frontière c’est cette grandissime sagesse qui émane de leurs grands esprits humbles qui m’a le plus marqué. Au cours de stages, j’ai eu l’honneur et le privilège de fouler les tatamis en compagnie de ces légendes du karaté. Leur image nous les fait paraître comme des personnages inaccessibles, mais il s’avère que cela reste une pensée totalement fausse. Ils ont le pouvoir de se placer au niveau de tout un chacun. Humainement je sors grandi de cette expérience » En 1986, une opportunité s’ouvre à lui, un ami Alain CASTAGNE professeur de musculation et vice champion de France de taekwondo, lui propose de dispenser des cours dans une salle privé, sous sa responsabilité puisqu’il ne détient aucun diplôme. Il va réaliser son rêve.s combats sont rudes à cette époque et déjà trois frères dans cette discipline… Farouk tente de le diriger vers une autre voie, en vain…Il passe outre ses conseils. Son désir ardent de vêtir le kimono le conduit à réaliser ses premières bases auprès de Claude THOMAS. Ce Maître qui dans les années 1960 développe le karaté sur la côte d’azur. Rappelons-nous les grands piliers de son club, ses karatékas : Henri VAN TUA, Farouk AÏT IBRAHIM, la famille VALENTIN, Patrick GADINO, Salva PORTARO, aussi les cadets Kader et Malek de la Famille AÏT IBRAHIM… Puis vint les années 1980, Claude THOMAS donne la direction de son club à Jean Pierre LAVORATO 9 ème dan de karaté expert fédéral de la FFKAMA, un des meilleurs karatékas connu mondialement ainsi Sradine poursuit son entrainement avec acharnement pour s’enrichir de l’art martial. En parallèle il enfile les gants de boxe américaine à st Raphael auprès de son manager Marcel OSTINGUA, personnage respectés dans sa discipline. Le célèbre entraineur de boxe américaine et de karaté a formé plusieurs champions du Monde et d’Europe. A ce jour il présente toujours ces élèves dans les grandes compétitions. Marcel encadre Sradine qui fait montre d’une grande détermination ainsi il gagne sa ceinture noire 1ère dan de boxe américaine. Malgré la prothèse totale de hanche* dont il est doté des suites de son accident, il se présente à toutes les compétitions de boxe américaine et de karaté. Sradine continu sa progression en revêtant le costume d’arbitre de ligue de boxe américaine. Une première à Fréjus, Claude THOMAS invite des éminences incontestées du karaté japonais. Encore ancré dans sa mémoire, l’intensité de son émotion est palpable quand Sradine relate ses stages avec ces Maîtres vénérés : sensei KASE, sensei SHIRAI, sensei NOEDA, Sensei NAITO. Ses mots : « auprès d’eux, j’ai appris la maitrise, le contrôle de soi, sans oublier la technique, la puissance et l’efficacité. Mais au-delà de toute frontière c’est cette grandissime sagesse qui émane de leurs grands esprits humbles qui m’a le plus marqué. Au cours de stages, j’ai eu l’honneur et le privilège de fouler les tatamis en compagnie de ces légendes du karaté. Leur image nous les fait paraître comme des personnages inaccessibles, mais il s’avère que cela reste une pensée totalement fausse. Ils ont le pouvoir de se placer au niveau de tout un chacun. Humainement je sors grandi de cette expérience » En 1986, une opportunité s’ouvre à lui, un ami Alain CASTAGNE professeur de musculation et vice champion de France de taekwondo, lui propose de dispenser des cours dans une salle privé, sous sa responsabilité puisqu’il ne détient aucun diplôme. Il va réaliser son rêve.
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